"Lentement et toujours après le dépassement de conflits internes plus ou moins vifs, la social-démocratie s'est dégagée du principe de la négation en politique pour adopter le point de vue d'une politique réformiste positive. Il restait un point pour lequel, jusqu'il à peu de mois, elle s'en tenait au strict principe strict du refus : sa position concernant la question militaire. Le principe fondamental "Pas un homme, pas un sou pour ce système" était devenu un dogme politique que personne n'osait remettre en cause. Et voilà que ce principe lui aussi est battu en brèche : pour la première fois, la social-démocratie a voté pour l'attribution de moyens financiers à l'armée, et de plus pas une somme minime ...
Pour lire ce texte entier, triste somme de la politique réformiste en matière de militarisme, montrant la responsabilité ancienne de ce courant dans la marche vers la guerre :
»Sozialistische Monatshefte« vom 29. Januar 1914
In seinem Aufsatz in den »Sozialistischen Monatsheften« vom 29. Januar 1914 resümierte Wilhelm Kolb zunächst die inhaltlichen Auseinandersetzungen innerhalb der SPD. Zum wiederholten Male akut wurden diese Auseinandersetzungen als es darum ging, der massiven Aufrüstung des Militärs zuzustimmen. Für Kolb, der schon
Link zur Quelle: »Sozialistische Monatshefte« 29. Januar 1914, H. 2, S. 83–88.
[1] Frank Engehausen, Die Anfänge der Sozialdemokraten im badischen Landtag 1891-1904. Zur Vorgeschichte des Großblocks, in: Zeitschrift für die Geschichte des Oberrheins, 2009, Bd. 157, S. 387-402, hier insb.: S. 401.
http://library.fes.de/cgi-bin/somo_mktiff.pl?year=1914&pdfs=1914_0083x1914_0084x1914_0085x1914_0086x1914_0087x1914_0088&verz=1914/1914_02